Rosalie A. Hamilton
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Pseudonyme : Lu'
Date d'inscription : 14/11/2008
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Métier: Danseuse
Nationalité: Américaine
 | Sujet: • « L’heure est aux rêves utopiques. » • || Rosalie A. Hamilton.  Ven 14 Nov - 21:16 | |
| .Rosalie Ann Hamilton.   J'aurais aimé t'aimer, comme on aime le soleil.
Te dire que le monde est beau, et que c'est beau d'aimer.
J'aurais aimé t'écrire le plus beau des poèmes, et construire un empire juste pour ton sourire. . •• let's dance• nom du père; HAMILTON Peter
• nom de la mère; SPENCER Ann
• prénoms; Rosalie Ann
• âge; 22 ans
• nationalité; Américaine
• profession; Danseuse de New York •• let's play• biographie;
Chapitre 1 : I was born to tell you I love you…
Je n’ai que de très vagues souvenirs de mon enfance, ou plutôt si j’en ai mais ceux là je m’efforce des les oublier ou de ne plus y penser… Je suis née le 31 décembre 1986, le soir de la nouvelle année, je devais normalement naître le 6 janvier, j’ai donc été prématuré de quelques jours… Mon père, où plutôt ce qu’il en reste, m’ont raconté qu’ils fêtaient avec leurs amis la nouvelle année, ma mère a alors sentit des contractions et s’est mise à hurler dans le restaurant, autant vous dire que tout les gens présents l’ont tous regardé et se sont tous mis à paniquer… Les pompiers sont venus la chercher en urgence, les contraction la faisait énormément souffrir, elle en pleurait tellement c’était de la torture, ça pour le moment je ne peux pas le comprendre je ne suis jamais tombée enceinte à ce que je sais ! Une fois arrivée à l’hôpital, mon père décida de ne pas assister à l’accouchement de ma mère, la vue du sang lui faisant tourner de l’œil, il préféra éviter de tomber dans les pommes afin de voir sa fille…
Je me présenta de la façon la plus naturelle possible, mon petit cœur battait bien, et j’avais les yeux grands ouverts, selon les dires de mon père informé par le médecin, seulement l’anomalie ne venait pas de moi mais de ma mère, tout ne se déroula pas comme prévu, et c’est très vite et par un arrêt cardiaque que ma mère ne survécu pas, je vous laisse imaginer le choc de mon père, très amoureux de cette femme que je n’ai jamais connu, qui ne m’a jamais tenue dans ses bras mais qui pourtant m’a mise au monde, comment ne pas se sentir perdu sans ça ? Sans cette sensation des bras de votre mère qui vous entoure pour vous consoler et vous empêcher de pleurer, je n’ai jamais eu ça… Et croyez moi, cela ne fut pas facile tout les jours…
Cette annonce à mon père le fit totalement s’effondré, cette soirée qui devait être une soirée de fête s’acheva par un malheur et un « bonheur » également, ma mère n’avait même pas eu le temps de me nommer, c’est avec le cœur lourd que mon père me donna le prénom de Rosalie et Ann en hommage à ma mère décédé en me mettant au monde… Mon père me ramena à la maison, en larmes, jamais il n’a été aussi malheureux de toute sa vie m’a-t-il confié… Il en finit même par me délaisser, me confiant à une famille d’accueil, mes grands parents ne pouvant pas assumer un enfant, ce fut donc la dernière solution, je vécu jusque l’âge de 7 ans dans une famille assez riche mais vraiment méchante, ils ne faisaient pas attention à moi, j’étais là mais c’est comme si j’étais totalement invisible, déjà à cet âge là je me repliais sur moi-même…
Chapitre 2 : Et si je me rebelle ?
A 7 ans, je fis l’expérience de revivre avec mon père, mais ça ne fut pas très concluant, la joie n’était pas très présente dans nos relations quand il y en avait, il me parlait chaque fois avec agressivité… Je me souviendrais toujours d’un jour en rentrant de l’école, il était dans la cuisine, complètement ivre, et il venait de casser un vase qui appartenait à ma mère, il s’effondra sur le sol en larme, et lorsqu’il remarqua ma présence, il fut très méchant …
« Qu’est-ce que tu regardes comme ça toi ?? me dit-il.
- Je viens tout juste de rentrer, et… euh… je ne sais pas, je… je m’inquiète pour toi.
-Tu t’inquiètes pour moi ?
- Oui.
- Tu t’es inquiété le jour où ma femme est morte pour te mettre au monde ?
- …
- Oh ça non ! Tu préférais brailler pour bien montrer que tu étais là !
- Je…
- Oh c’est bon dis rien… ! »
Tout en disant ça, il se rapprochait de moi, il devenait très effrayant, je n’osais pas bouger, il leva la main sur moi pour me frapper, je ne le croyais pas capable de me faire du mal, et pourtant il l’a fait, s’en était trop, je n’en pouvais plus, à 10 ans je quitta la maison, encore une nouvelle famille d’accueil, cette fois ci, elle était extrêmement chaleureuse, ils avaient deux enfants, deux fils, l’un s’appelait Alexander âgé de 12 ans et l’autre Declan âgé de 16 ans, au début j’avais peur d’eux, et un soir me rapprocha beaucoup d’Alexander, il m’écoutait lui parler de mon père et de ma mère que je n’ai jamais connu décédée pendant son accouchement, il ne disait rien, même s’il ne pouvait pas savoir exactement ce que j’ai vécu, il semblait me comprendre, il me protégeait, seulement voilà, je développais pour Alexander des sentiments autres qu’un frère et une sœur, je commençais à tomber amoureuse, oh bien sur je ne lui en fis aucunement part, je garda tout ça au fond de moi, il en était mieux ainsi… Je fis mon entrée au lycée et évidement, je me comportais comme une fille méchante, extrêmement secrète et antisocial, autant vous dire que je n’étais pas dans les bons papiers du proviseurs, à cette époque danser aurait été impossible pour moi, j’étais assez masculine, seulement voila, à 14 ans, j’allais déjà me faire exclure, alors le proviseur m’imposa un ultimatum, celui de faire partie de la troupe de danse… J’ai accepté, et ce fut une révélation…
Chapitre 3 : Je t’aime, moi non plus…
En quelques années, je devenais la meilleure danseuse de mon lycée, sans vouloir me vanter bien sur… J’avais complètement changé, j’étais plus ouverte, plus douce, plus gracieuse, tellement plus féminine aussi… J’étais aussi bien plus proche d’Alexander, on sortait tout les deux, on rigolait bien, et puis un jour j’ai décidé de lui dire ce que j’avais sur le cœur depuis bien trop longtemps, j’ai finis par lui avouer ce que je ressens, et je l’ai embrassé, je voyais dans son regard qu’il était troublé, il ne savait que dire, je me suis sentie horriblement mal à l’aise et honteuse et je suis partie en courant, nos relations étaient bizarre après ça, je m’en voulais, j’espérais qu’un jour il viendrais me dire qu’il était juste surpris, que c’était peut être ce qu’il voulait lui aussi, mais non, il n’y a rien eu de tout ça, à mon plus grand regret…
Après ça, je sortais avec n’importe qui et en général, ça ne durait pas bien longtemps, il me semblait quand même voir parfois de la jalousie dans le regard d’Alexander, mais jamais il n’y eut une seule allusion… C’est alors qu’un de mes professeur de danse me parla de Moscou, et elle me demanda d’aller danser là haut, j’avais des étoiles dans les yeux, j’en rêvais… J’ai dis oui, moi Rosalie Ann Hamilton j’allais tout plaquer pour la Russie à seulement 22 ans ! Je n’en revenais pas, et ma famille d’accueil non plus, bien sur qu’ils étaient fier de moi ! La seule personne a qui ça avait l’air de poser problème était bien évidement Alexander, mais je préférais ignorer sa réaction…
Viens ensuite le grand jour, celui du grand départ, de ma nouvelle vie, j’avais les larmes aux yeux de les quitter, ils avaient été si accueillant avec moi… Ils me firent une grande fête d’au revoir, et le lendemain matin, c’est Alexander qui se chargea de m’emmener à l’aéroport… Le trajet se passa dans un long silence, je me sentais mal à l’aise, mais pourquoi ? Je me le suis toujours demandé… Il porta mes valises, je l’aidais… Puis vient enfin le moment de se dire au revoir, je le pris dans mes bras en lui disant qu’il allait beaucoup me manquer, aucune réaction, aucune réponse, je décida donc de partir, mais il me retenait le bras, il se mit enfin à parler, pour m’expliquer que le soir où je l’avais embrassé il avait été surpris, mais pas désagréablement, c’est juste qu’il n’avait pas le courage de réagir étant donné la situation, c’est vrai après tout je vivais chez lui, la situation n’était pas évidente, il m’a également dit qu’il regrettait de n’avoir rien fais… Je lui en voulais, pourquoi ? Il était entrain de me dire qu’il m’aime juste avant que je ne m’envole pour probablement toujours, il était ignoble, je lui fis savoir, et je pris l’avion…
Depuis je suis bien arrivée, je n’ai aucune nouvelle d’eux, j’ai fais mon entrée dans la fameuse école de Moscou, je fis la rencontre d’une fille nommée Lyssa, on s’entend bien, mais je pense à lui…
•• let's go• pseudo; Lu'
• avatar; Taylor Momsen
• où avez vous découvert le forum? Obsession
• comment le trouvez vous? Magnifique
• commentaires; Magnifique design, j'ai hâte de commencer à RP.
Dernière édition par Rosalie A. Hamilton le Sam 15 Nov - 23:56, édité 1 fois | |
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