&.Lyssa Tiffany Collins

.•• let's dance

• nom du père; Richard Collins
• nom de la mère; Elisabetta Ciccone
• prénoms; Lyssa Tiffany
• âge; 22 ans
• nationalité; Américaines & Italiennes
• profession; danseuse de l'opéra national de New York

•• let's play

• biographie;

«Lyssa Tiffany Collins, née à Los Angeles, le 26 Avril 1986 d’un père américain & d’une mère italienne. This is the story of my life.»

Chapitre un ; De la naissance à l'enfance

Comme je l’ai déjà dit, mon histoire a commencé un certain soir de printemps. Nous étions au mois d’avril, jour 26 plus précisément. D’après ce que ma mère m’a raconter, il était vingt heures lorsqu’elle a commencé à avoir des contractions. Elle et mon père se sont donc rendu en vitesse à l’hôpital le plus près. Après quelques heures de travail, je suis née. J’ai montré le bout de mon nez à vingt-trois heures cinquante et quelques secondes. Pas besoin d’être précise à ce point-là. Mes parents savaient déjà que j’allais être une fille. Ils ne voulaient pas avoir la surprise eux, ils avaient bien trop hâte de savoir. Ils avaient donc eu beaucoup de temps pour choisir mon prénom, mais comme ils avaient longtemps hésité entre plusieurs, ils avaient fini par mettre tous les noms dans un chapeau et en avaient pigés deux. Voilà pourquoi je me prénomme Lyssa Tiffany. J’aime mon prénom, heureusement. Cela aurait pu être bien pire. Donc, quelques jours après l’accouchement, nous sommes tous rentrés à la maison. J’étais la première enfant de la famille. Je restai toujours la seule d’ailleurs. Il faut dire que ma mère avait fait plusieurs fausses couches avant ma naissance, je comprends donc pourquoi elle n’a pas voulu d’autre enfant. Elle était déjà bien contente de m’avoir. Ma famille était très aisée financièrement. Ma mère était une artiste. Elle peignait des tableaux. J’ai eu de la chance, puisque ma mère travaillait à la maison. Je n’avais donc pas besoin de nounou pour s’occuper de moi. Mon père quant à lui était directeur d’un grand bureau d’avocat. Il n’était pas très souvent à la maison, ce qui me décevait énormément. Vous devinerez que j’entretiens une plus grande relation avec ma mère qu’avec mon père. Ma mère est un ange. Elle a toujours été d’une grande douceur avec moi. Quand j’étais petite, j’étais traité comme une princesse. J’avais tout ce que je voulais en claquant des doigts. Mais en grandissant tout à bien changer.

C’était lors d’un après-midi. Ma mère était dans son atelier entrain de peindre et moi j’étais dans ma chambre entrain de jouer avec mes poupées. Elle m’a dit de descendre pour le dîner. C’était généralement au dîner que je parlais le plus avec ma mère. Ce jour là, j’avais décidé de lui parler de papa.

« Dis maman, pourquoi il est jamais là papa ? » Avais-je dit, un grand questionnement sur mon visage.
« Tu sais bien qu’il travaille princesse. » me répondit-elle avec une voix douce.
« Oui, mais il travaille tout le temps. Je veut qu’il soit avec nous ici moi.»
« Je sais, mais il faut qu’il travaille pour qu’on puisse avoir de l’argent.»
« Pourquoi on a besoin d’argent maman ? »
« Pour manger, pour avoir des vêtements, pour garder la maison.»
« Ah. »
« Ne fais pas cette tête là chérie, tu sais que papa revient du travail dès qu’il peut. »
« Je dors toujours quand il arrive.» Avais-je dit avec une moue.
« Ce soir, je te promet que tu pourras rester éveillé jusqu'à ce qu’il arrive.»
Je me contenta de lui faire un sourire avant de remonter à ma chambre.


Chapitre deux ; We're gonna rock this party tonight ou l'adolescence

Me voilà maintenant à douze ans. Bientôt le début de l’adolescence. Cette période folle de ma vie. Beaucoup de choses à regretter, beaucoup d’autres à se remémorer. Vous vous demandez sans doute, comment la petite princesse que j’étais a pu devenir autre chose. Eh bien c’est simple. Ma mère avait 45 ans lorsqu’elle est décéder d’un cancer du sein. J’en avais 12. C’est à partir de ce moment là que j’ai changé. Mon père se fichait complètement de moi, trop occupé à diriger son bureau d’avocats. Je voulais qu’il me remarque, qu’il prenne soin de moi. Le seul moyen que j’ai trouvé était de faire les pires conneries. Brillante idée n’est ce pas ? Au lycée, je dois avouer que je ne fréquentais pas les gens des meilleures familles. Je faisais partie des rebelles et j’en étais fière. C’est à cette période de ma vie que je me suis rapprochée de ce jeune homme que je connaissais depuis l’enfance mais avec qui je n’avais jamais été très proche. Il s’appelait Adam. Nos mères se connaissaient très bien, il était l’un des seuls à savoir que ma mère n’était plus. Nous sommes rapidement devenu de très bons amis. Je peux même dire qu’il était mon meilleur ami. C’est avec lui que j’ai passé une grande partie de mon adolescence. C’est avec lui que j’ai eu mes premières expérience, telles que la première gueule de bois ou bien la première fois qu’on prend de la drogue. Mais je ne garde pas un très bon souvenir de la drogue. J’ai été accro, heureusement, j’ai su me reprendre en main avant qu’il ne soit trop tard. Pour compenser mon manque de drogue, j’aurais pu manger sans m’arrêter, mais j’ai fait le contraire. J’ai cessé de manger. Mon père bien sûr ne remarquait rien. J’ai donc souffert d’anorexie. C’est lorsque que je suis rentrée d’urgence à l’hôpital que mon père s’est finalement rendu compte qu’il y avait quelque chose qui clochait. Je m’en suis sorti aussi, heureusement. Mon père a ensuite commencé à me surprotéger. Une raison de plus pour faire d’autres conneries. Cette fois-ci je me suis limité aux fêtes bien arrosées. Comme plusieurs adolescents quoi. À 17 ans, j’ai finalement réalisé qu’il était temps que de faire quelque chose de ma vie. J’ai donc commencé à danser. Vous allez me dire que 17 ans c’est un peu tard pour commencer à danser, oui, je l’admets, mais j’avais du talent. Mon père m’a payé les meilleurs professeurs et je suis rapidement devenue une danseuse talentueuse. À 18 ans, je suis entrée à l’opéra national de New York. J’ai commencé à faire des spectacles avec le reste de la troupe. J’aurais tellement aimé que ma mère soit là pour voir ça.

C’est peu de temps après l’anniversaire de mes douze ans que ma mère mourut. Je me souviens comme si c’était hier de la dernière fois que je l’ai vu. Elle était sur son lit d’hôpital. Ses cheveux étaient tombés à cause de la chimiothérapie. Il n’y avait aucun résultat, elle ne tarderait pas à partir.

« Ne m’abandonne pas maman, j’ai besoin de toi.»
J’avais les larmes aux yeux. J’avais le cœur brisé de voir ma mère ainsi.
« Je ne t’abandonne pas princesse, je serai toujours là dans ton cœur.»
« Je sais, mais c’est pas la même chose maman.»
« Je sais bien chérie, mais la vie est faite ainsi et on ne peut rien y faire. Je me suis battue, j’ai essayé, mais ça n’a pas fonctionné.»
« Je t’aime, maman, j’espère que tu vas toujours pensé a moi là-haut.»
« Bien sûr chérie voyons. Moi aussi je t’aime.»

Ce soir-là j’étais restée avec elle à l’hôpital. Je m’étais endormi dans ses bras. Je m’étais réveillée en plein milieu de la nuit. Son corps était toujours à mes côtés, mais son âme l’avait quitté.


Chapitre trois ; Blondie s'assagit, enfin presque, ou la vie adulte.

Le titre dit vrai. Au passage à la vie adulte, la rebelle que j’étais s’est assagie. Mais attention, pas complètement. Fini la drogue & les problèmes alimentaires. Cette période de ma vie était bien révolue. N’empêche que je continuait de sortir là où il y avait de l’alcool et de m’amuser comme une folle. Je ne vous ai pas raconté le soir où moi et mon meilleur ami avons fini dans le même lit. Enfin, ce n’est pas assez intéressant pour être raconté, vous voyez déjà le genre de l’histoire. Bref, suite à cette soirée, je me suis longtemps demandé si je n’étais pas amoureuse de lui. C’est pourquoi je n’ai jamais eu de relations sérieuses, je préférait les relations d’une nuit. Ma vie adulte se résume donc à la danse, à faire la fête, à sortir entres amis, et à plusieurs autres choses plus ou moins insignifiantes.



Mon père est toujours aussi protecteur envers moi, cette discussion téléphonique le prouve.

« Allô ? »
« Allô ma puce, c’est papa.»
« Ah, salut.» La joie ne s’exprimait pas du tout dans ma voix.
« Qu’est ce que tu faisait ? »
« Je vais bien papa, merci & toi ? » Il ne prenait même pas la peine de me demander si j’allais bien.
« Désolé chérie, je vais bien. Alors tu faisait quoi ? »
« Tu m’énerves avec tes questions dad. J’écoutais tranquillement un film, ça te va comme réponse.»
« Ah bon ? Tu ne sortait pas ce soir ? »
« Non papa, je suis sortie hier.»
« Eh bien dit donc, tu me surprends Ly’»
«C’est terminé l’époque où je sortais tous les soirs.»
« Tant mieux. »
« Bon, c’est pas que j’aime pas discuter avec toit papa, mais y’a mon film qui m’attend.»
« Je ne te dérangerai plus, bonne nuit ma puce.»
« Bonne nuit papa.»

Sur ce, j’ai raccroché le téléphone. Ces questions incessantes m’énervait au plus haut point. Ce n’est qu’une conversation parmi tant d’autres que nous avons eu. Certaines fois, il me demande si j’ai mangé ou encore même si j’ai pris ma douche. Sérieusement, j’en ai marre. Je sais qu’il fait ça parce qu’il m’aime, mais il est un peu trop tard pour me prouver son amour.

•• let's go

• pseudo; Sweet`Heart
• avatar; Blake Lively
• où avez vous découvert le forum? Par e-mail
• comment le trouvez vous? Super contexte & design sublime
• commentaires;Je m'étais promis de ne plus m'inscrire sur des RPG, mais j'ai pas pu résister

Merci
Je réfléchi toujours pour l'avatar, j'aime bien Shenae mais je ne connais pas énormément de site où trouver des avatars.

À ce que je vois, je doit laisser tomber Leighton
Je vais prendre Shenae alors.

Merci =)

Bon choix.

Bienvenuue.

Merci
& Pas de quoi pour les compliments
EDIT : Vous allez me trouver chiante, mais j'ai vue que Blake était de nouveau disponible, j'aime bien Shenae, mais je sens que je vais me lasser, c'est possible de changer pour prendre Blake ?

Merci (:
Bon, je me met à ma fiche maintenant.

Bienvenue sur le forum
Blake

Merci
Chace

Je crois avoir terminé ma fiche (: