Ania Pelageya Svyatoslav ; terminé

.•• let's dance

•

nom du père

« Mon papa been il s’appelle Svyatoslav, comme moi ! Ania Pelageya Svyatoslav ; terminé 639332

C’est un nom russe très ravissant, encore faut-il savoir le prononcer... Cela se dit donc « Sv... ya... tos... laf ». En effet, le v se prononce comme un f, étrange ? Oh mon pays est un pays bien étrange ! Ce nom est un dérivé du slave, "svyanto" signifie béni, saint et "slav" signifie gloire. A la gloire de mon père pour ce magnifique nom que je porte désormais ! »

•

nom de la mère

« Oh étrangement, le nom de jeune fille de ma mère est exactement le même que celui de mon père, autrement dit Svyatoslav ! Pourtant, ils ne sont pas du tout de la même famille, ils ne sont même pas cousins éloignés, rien, nada, niet ! Ils ne se connaissaient pas du tout, mais remarquez que cela a des avantages, au moins elle n’a pas eu à changer de nom, ni de signature ! x) Je suis sûre que c’est le destin qui les a réunis ! »

•

prénoms

« Je porte exactement deux prénoms, le premier étant presque de sang royal. Oh ne voyez pas là une quelconque réaction vaniteuse, je suis certes fière de mon prénom, mais plus particulièrement parce que je le trouve très beau. Celui que je porte tous les jours, que tout le monde connait et utilise pour m’appeler est Ania, qui en hébreux signifie « gracieuse ». Ne me convient-il pas à merveille ? De plus, c’est un peu le diminutif d’Anastasia, comme la duchesse Romanov. Mon autre prénom est un peu moins courant, Pelageya, j’en suis un peu moins fière. Mais il est tellement peu banal que je l’aime également ! »

•

âge

« J’ai désormais 22 ans, un bel âge et un bel avenir derrière moi. Je suis née le 13 novembre 1986, encore en automne mais déjà un temps si froid. Mais j’aime le froid, comme mon pays... Je m’égare, je suis donc une jeune femme de 22 ans et née en 1986. »

•

nationalité

« Avec un tel nom, de tels prénoms, vous me demandez encore ma nationalité ? Je suis russe, et oui, on ne l’aurait pas deviné n’est-ce pas ? C’est vrai que je sors un peu de la norme habituelle des russes, je ne suis pas très blonde aux yeux bleus... Mais ce n’est pas grave, ça fait de moi une personne russe unique ! »

•

profession

« J’ai toujours aimé lire, écrire... Ce n’est donc pas étonnant de me voir aujourd’hui journaliste ! Je pense que je pourrais aller loin dans le métier, même si aujourd’hui je débute, avec de bons maître pour me lancer, je pourrais peut être un jour être reconnue dans le pays, et qui sait ? Peut être aussi dans le monde ! »

Un homme un homme

On en manque Mrgreen

Sinon moi je dis SMG

Bienvenue Cookie Smile

Merci =)
Et been j'ai très envie de la jouer SMG, car plusieurs j'ai voulu la prendre et je me suis faite devancée >.<

J'aime j'aime j'aime SMG

Je crois que je vais la choisir... Oh quand le doute s'installe ! xD

Préviens quand tu seras sure que je réserve Mrgreen

Bon, been j'ai tellement envie de la prendre que mon choix se porte sur... Sarah Michelle Prinze ! <3

Elle t'est réservée.

Merci beaucoup ! <3
Je m'attaque à ma fiche demain, là je tombe de sommeil ^^

Bisous Ania Pelageya Svyatoslav ; terminé 639332

•• let's play

•

biographie

▪ « C’était un beau jour de noël ♫ LALALALALA... »

« Aah ! »

Des sacs volèrent, des paquets s’écrasèrent sur le sol, tout ce qui se trouvait dans les sacs se répandit par terre, et parmi tout cela, deux personnes se retrouvèrent les fesses par terre. Une très belle jeune femme, les cheveux longs et bruns aux reflets un peu roux avec la lumière, avait poussé un petit cri lorsqu’elle percuta un jeune homme, d’environ son âge et particulièrement charmant. Ce n’est pas le fait de voir cet homme qui la fit crier, mais plutôt de sentir le sol percutant sur son arrière train. Ils ne mirent pas moins d’une minute à se rendre compte du ridicule de la situation et évidemment ils rigolèrent un peu tout en ramassant le plus vite des affaires répandues sur le sol. Bien évidemment, ils avaient presque tout mélangés, alors ils se retirèrent du centre du magasin pour se rendre leurs affaires respectives, et se présenter par la même occasion. Ce fut dans des rires qu’ils se dirent leurs prénoms, puis leurs noms et soudain ils s’arrêtèrent net.

« Excusez moi, j’étais distrait. Mais je ne me suis pas présenté, Aleksei Svyatoslav. »
« Pardon ? Vous avez dit Svyatoslav ? »
« Oui exactement, il s’agit de mon nom. »
« Oh ça... C’est drôle, car moi je m’appelle Lyuba Svyatoslav, comme vous... »

Les deux jeunes gens, pas plus âgés de 26 ans, se regardèrent étrangement, puis encore plus étrange, ils explosèrent de rire. Drôle de rencontre n’est-ce pas ?

Par la suite, ils firent quelques recherches chacun de leur côtés, mais ils s’aperçurent bien vite qu’ils n’avaient aucun lien de parenté, ce qui les rassura. Puis ils se revirent très souvent, Lyuba invita Aleksei à passer noël avec elle. En effet, le jour de leur rencontre, la demoiselle était allée acheter tous ses cadeaux, qu’elle avait bien choisi pour sa famille, ses amis... Un peu plus tard, elle était même retournée acheter un cadeau pour Aleksei, et une amitié vit le jour devant le grand et beau sapin de Lyuba Svyatoslav.

▪ « Tu n’es qu’un idiot mais vraiment je t’aime ... ! »

« Allô Lyuba ? C’est moi, je ne sais pas pourquoi tu ne réponds pas mais s’il te plait arrête ce petit jeu. Ce n’est pas drôle et je m’inquiète pour toi. [...] Ecoute, je suis désolé pour hier soir, je ne voulais pas mais tu sais comme je suis distrait ?! S’il te plait décroche ce téléphone ! Lyuba... »

Le petit boitier noir du répondeur, posé sur le buffet dans l’entrée de l’appartement de Lyuba, se mit à clignoter dans une petite lumière rouge, significative de nouveau message. La demoiselle s’approcha de l’appareil, elle appuya sur un bouton et laissa le message défilé. Lorsque celui-ci fut terminé, elle retourna dans son salon et s’avachit sur le canapé, elle se trouvait idiote plus que tout au monde. Cela faisait maintenant six mois qu’elle avait rencontré Aleksei, et désormais quatre mois qu’ils se fréquentaient en tant que couple. Ils s’aimaient, mais ces derniers temps tout devenait compliqué.

La veille, elle était censée dîner avec Aleksei dans l’un des plus grands restaurants de la ville de Moscou, mais malheureusement celui-ci n’était pas venu, il avait oublié... Voilà son excuse.

Une heure plus tard, la jeune femme s’était endormie sur le canapé, quelqu’un sonna à sa porte ce qui la réveilla en sursaut. Elle se releva, se demandant qui cela pouvait bien être, et jetant à coup d’œil à l’heure, elle se posa à nouveau la question en y rajoutant « surtout à cette heure-ci ». En effet, il était environ 21 heures, il faisait déjà nuit noire au dehors, et toutes les lumières de la ville étaient allumées ensembles. Moscou resplendissait en cette soirée. Lyuba ouvrit la porte et qu’elle ne fut sa surprise lorsqu’elle se retrouva face à... Aleksei ! Elle allait lui claquer la porte au nez, mais celui-ci n’attendit pas une seconde, il bloqua la porte et entra dans l’appartement.

« Sors de chez moi ! »
« Lyuba écoute moi, habille toi je t’emmène dîner, j’ai quelque chose d’important à te dire. »

Elle resta clouée sur place, elle voyait déjà la scène, lui la plaquant dans un restaurant devant tout le monde, quelle honte ! Elle refusa nettement, mais celui-ci la força, prétextant qu’il ne bougerait pas tant qu’elle n’irait pas s’habiller. Finalement, ce fut lui qui gagna la partie, et ils partirent tous les deux.

« Où est-ce que tu m’emmènes ? »
« Tu verras bien... »
« Idiot... »
« Je t’ai entendu. »
« Pfff... »

Finalement, la voiture qu’utilisait très souvent Aleksei, à savoir qu’il avait un chauffeur, s’arrêta devant le restaurant le plus réputé de tout Moscou, cela voulait bien dire qu’il fallait avoir de quoi payé. Heureusement, Aleksei sortait tout droit d’une famille très aristocrate, et évidemment très riche. Ce qui n’était pas le cas de la jeune femme... Elle resta bouche bée devant la splendeur du restaurant, jamais encore elle n’avait pu y aller et bientôt elle se retourna vers Aleksei pour lu faire encore des reproches.

« Pourquoi tu m’amènes ici ? »
« Pour te faire plaisir. »
« Mais tu as vu comment je suis habillé ? On dirait une... paysanne ! »

Aleksei ne put s’empêcher de rire devant la juvénilité de Lyuba, il la trouvait si belle même habillée comme les jours du samedi. Mais pour la satisfaire, il l’emmena dans le magasin le plus proche, un magasin de haute couture et il la laissa choisir la robe de son choix. Evidemment elle lui dit d’attendre dans la voiture. Seulement lorsqu’elle fut fin prête, on l’avait coiffé et maquillé aussi, elle sortit du magasin et Aleksei en resta sans voix, devant elle.

« Allons, bouge toi et va payer ! »

Toujours pleine de délicatesse cette femme, elle monta dans la voiture et attendit que le jeune homme revienne. En vérité elle était terriblement contente d’être avec lui, mais elle le cachait bien. Quelques minutes plus tard, ils entrèrent dans ce somptueux restaurant et un serveur les guida à une table.

« Voici la table que monsieur a réservé. »

Lyuba jeta un regard étonné à Aleksei, alors il avait tout prévu comme ça... ? Il lui sourit, ce sourire qui faisait tant craquer la jeune femme et elle ne put s’empêcher de rire.

Trois quart d’heure plus tard, alors que le dîner était bien entamé, Aleksei chuchota quelque chose à l’oreille de l’un des serveurs et celui hocha la tête avant de partir. Lyuba ne comprenait absolument rien, et cela l’agaçait plus que tout puis soudain cette idée qu’il allait l’a quitté lui revint en tête. Alors forcément son humeur redescendit en pointe, Aleksei s’en aperçut et fit un petit signe discret au serveur de s’activer. Celui arriva soudain avec du champagne, deux coupes et il repartit, quand à Lyuba elle regarda ça presque dégoûtée se disant que ce serait certainement le dernier moment en sa compagnie.

Aleksei se leva et alla se mettre à genoux devant la belle, qui évidemment n’y comprit rien. Quel drôle de façon de la quitter... Le jeune homme sortit quelque chose de sa poche, et regardant Lyuba dans les yeux... Il lui demanda si elle désirait l’épouser.

« Tu... tout ça... pour... Oui ! »

Les mots ne sortaient plus, elle faisait pleins de gestes et finalement ce fut presque dans un cri qu’elle accepta. Elle mit la magnifique bague qu’il avait achetée il y a une semaine environ, et ils s’embrassèrent... Tout ce petit ménage avait attiré l’attention du public du restaurant, et tous applaudirent. Pourquoi ? Oh ce genre d’évènements vous émue toujours.

▪ « C’est le deuxième plus beau jour de ma vie ! »

Madame Lyuba Svyatoslav, son ancien et nouveau nom, était allongée dans une chambre blanche mais cependant chaleureuse. En effet, elle était assez décorée pour que l’on s’y sente à l’aise et c’était le cas de Lyuba. Bien que... la situation n’était pas des meilleures en cet instant présent.

« Encore un tout petit effort madame, vous y êtes presque ! Oui... voila... C’est bon ! Le bébé est sortit ! C’est... c’est une fille ! Madame vous venez d’avoir votre première fille ! »

Lyuba se mit à pleurer, non seulement parce que l’effort avait été dur et douloureux, mais aussi parce qu’elle était heureuse, elle avait toujours voulu avoir une fille. Aleksei entra environ une demi-heure après dans la chambre, vêtu d’une blouse stérile. Il vit le petit bébé tout propre et habillé dans les bras de sa maman reposée et calmée. Il la prit dans ses bras, délicatement, il la trouvait si jolie...

« Excusez-moi de vous déranger, mais nous aurions besoin de savoir son nom complet. »

Le médecin venait de faire son entrée, et les deux jeunes parents se regardèrent puis se tournèrent vers le médecin. Encore une fois, et comme à leur habitude, ils ne furent pas immédiatement d’accord car en même temps ils dirent un prénom différent.

« Ania ! » Dit Lyuba.
« Pelageya ! » Dit Aleksei.

Le regard qu’ils se jetèrent fut presque méchant, mais finalement ils essayèrent de se mettre d’accord sur l’ordre des prénoms. Chacun voulait le sien en premier, et finalement le médecin proposa un ordre alphabétique. Dans un hochement de tête, les deux acquiescèrent et la petite hérita finalement du nom complet d’Ania Pelageya Svyatoslav.

▪ « Plus tard je serais une journaliste connue. »

La petite Ania et ses parents étaient assis dans le salon de leur grande maison, la demoiselle venait d’avoir huit ans et noël approchait à grands pas. Tout le monde regardait la télévision, sauf la petite qui lisait, allongée par terre, par moments elle relevait la tête pour observer quelques scènes du film. Soudain elle s’assit sur le sol, et se tournant vers ses parents et s’écria quelque chose qui les étonna tout les deux.

« Plus tard je serais une journaliste connue dans toute la Russie ! Et peut être même dans le monde entier ! »

De son jeune âge cela les étonnaient de l’entendre déjà dire cela, et pour eux c’était juste un rêve d’enfant. Mais les petites filles veulent devenir chanteuses... Pas Ania. C’était dit, elle le voulait, elle le sera !

▪ « Mon rêve va se réaliser. »

« Maman ! Maman ! »

Ania rentra chez elle très vite, se préoccupant à peine de fermer la porte et se précipita dans le salon pour trouver sa mère. Mais il n’y était pas, elle fit une à une toutes les pièces de la maison sans trouver sa mère. Elle commença presque à s’inquiéter, mais soudain elle entendit la chasse d’eau et sa mère sortit des toilettes. Quelle ironie... ! Ania lui sauta presque dessus, hyper excitée et n’en pouvant plus d’attendre.

« Maman devine quoi ! J’ai été prise pour entrer dans l’école de journalisme !!! »

Ania sautait et criait dans tous les sens, sa maman avec elle, car même le temps la rattrapait, au fond elle gardait une âme d’enfant. Ce fut dans cette joie communicative qu’Aleksei les trouva lorsqu’il rentra un quart d’heure plus tard. Il apprit bien vite la nouvelle, et fut très heureux pour sa fille, il repensa à cette phrase qu’elle leur avait dit lors de ses huit ans. Elle n’avait pas changé de choix, le journalisme était véritablement sa vocation et aujourd’hui elle avait été choisit pour entrer dans une prestigieuse école de journalisme.

« Je suis fière de toi Ania. »

Il l’embrassa et la serra fort dans ses bras.

▪ « Je vous aime mais je vous quitte. »

Ania ferma son tout dernier carton, puis elle descendit dans le salon pour retrouver ses parents, sa maman paraissait un peu triste et son père essayait de la réconforter. La demoiselle s’assit entre les deux et les regarda avec tout l’amour possible dans son regard.

« Maman, papa, même si je pars de la maison je ne serais jamais loin. On se verra toujours, on s’appellera tout le temps, ou presque. Mais le plus important, je vous aimerais toute ma vie et bien après ! »

Lyuba ne put s’empêcher de pleurer, sa fille était grande désormais, elle avait atteint ses 21 ans et dans quelques mois elle aurait 22 ans. Elle avait décidé de partir vivre dans son propre appartement, de plus, elle avait trouvé un travail en tant que journalisme. Tout allait pour le mieux pour elle.
Ania les regarda dans un grand sourire, puis elle leur dit cette petite phrase qu’ils se disaient dans les moments de blues de l’un des membres de la famille.

« Câlin à trois. »

Certes pas grand-chose, mais ils s’enlacèrent tous les trois et ne se quittèrent plus pendant quelques minutes. Puis vint l’heure pour Ania de partir, toutes ses affaires étaient déjà à l’appartement, il ne lui restait plus que l’essentiel. Elle partit, après avoir embrassé ses parents et leur promis de les appeler dès ce soir. Puis elle partit, pour vivre sa vie...

•• let's go

•

pseudo

•

avatar

•

où avez vous découvert le forum

•

comment le trouvez vous

<3

•

commentaires

<3

Il me semble avoir terminé ma fiche.

Tu es validée.

Merci

» Ania ; jolie russe & ses relations
» Ana ; *Banana. -(terminé)
» Anaya M. James || Terminé ='DD